Mois : août 2021

Portrait de jardinières : Anne-Sophie, Martine et Solenn, Les P’tites graines de bonheur.

Portrait de jardinières : Anne-Sophie, Martine et Solenn, Les P’tites graines de bonheur.

Au début des années 2000 nous présentions nos livres de la façon suivante :
Ces histoires ne sont que des graines :  
Nous ne savons pas quel terreau les accueillera.
Seront-elles arrosées régulièrement ?
Se mettront-elles en dormance pour ressurgir plus tard ?
Ou bien germeront-elles immédiatement ? 

En 2020, nous avons lancé le réseau des « Jardinier·e·s de Pourpenser » pour réunir celles et ceux qui souhaitent nous aider à cultiver le questionnement auprès des familles.
Dans cette série de billets nous invitons les jardiniers et jardinières qui le souhaitent à venir se présenter et à nous expliquer ce qui les relient à Pourpenser.

Aujourd’hui, nous vous présentons Anne-Sophie, Martine et Solenn

Activité : Ateliers intergénérationnels Ludiques et Ressourçants

Zone Géographique : PORNICHET (44)

Leur page Facebook

Leur site :
https://www.ptitesgrainesdebonheur.fr/

Bonjour Anne-Sophie, Martine et Solenn, pouvez-vous nous dire le lien entre Pourpenser et votre activité professionnelle ?

P’tites Graines de Bonheur, ce sont des ateliers intergénérationnels ludiques et ressourçants. Nous avons créé ces ateliers pour semer autour de nous des petites graines d’amour, de patiente, d’écoute, de respect, d’échange… de bonheur quoi !!!

Nous avons découvert les livres Pourpenser sur un salon, et avons eu un vrai coup de cœur.

Forcément, c’était évident, pour nous qui semions aussi des petites graines, de les avoir en support lors de nos ateliers.

Il y a tellement de sujets que nous trouvons toujours la réponse aux questions qu’on peut nous poser. Lors des lectures, c’est fluide, évident, apaisant. Ils nous font aussi rêver !!! Nous en parlons énormément autour de nous, et les parents sont très contents de trouver un support à leur questionnement.

Pourquoi vous avez rejoint l’aventure des jardinières de Pourpenser ?

Alors quand nous avons vu cette annonce recrutant des jardinières, nous n’avons pas hésité une minute.

Trois jardinières de Bonheur qui diffusent encore le bonheur de lire, c’est vraiment que du bonheur.

Nous sommes donc très heureuses de faire partie des semeuses et espérons qu’il y aura encore et encore beaucoup de livres à découvrir pour semer autour de nous.

Un coup de cœur dans le catalogue de Pourpenser ?

Solenn : Difficile de faire un choix car beaucoup de livres sont des coups de cœur pour moi.

Je vais quand même sélectionner « Histoire de Temps » de Galou. Une histoire qui explique pourquoi nous manquons souvent de temps, des minutes qui s’écoulent trop vite, l’impression de se dépêcher tout le temps… Nombre de familles, et moi-même, le vivent quotidiennement ce manque de temps et cela est très inconfortable, stressant, et peut mener au surmenage.

La solution ? Prendre le temps de vivre l’instant présent 10 minutes par jour. C’est court 10 minutes… Fabriquons ce temps libre, prenons soin de nous en nous accordant ce moment.

Alors, on commence cette semaine à prendre ce temps ?

Martine : J’aurais envie de parler de beaucoup de livres mais j’ai choisi « La petite Terre » car en ce moment, nous sommes vraiment dans la réflexion de « comment soigner notre Terre » que nous avons laissé se détériorer par égoïsme et modernisme chacun pour soi sans se soucier des retombées.

Prendre le temps d’écouter, de respirer, d’observer, nous en prenons maintenant conscience et c’est un message que je fais passer lors de mes ateliers de relaxation, et c’est aussi un message du livre. Et puis, j’aime bien la magie des Elfes et des Fées qui viennent au secours de « la petite Terre » en chuchotant aux enfants de la Terre, des messages pour chouchouter leur Terre et semer la Paix. Je trouve cela magnifique.

En lisant ce livre, je me suis dis, c’est vraiment ce que nous sommes en train de vivre et ce serait si simple si chacun de nous se prenait pour une petite fée pour améliorer notre si belle planète.

Alors, si vous ne connaissez pas « La petite Terre » je vous invite à le lire et ensuite œuvrer pour notre nouvelle Terre.

Anne Sophie : Difficile de choisir un livre, ils me plaisent tous ! « Le petit rien de Marguerite » de Aline de Pétigny me parle bien.

J’adore les illustrations, et l’histoire fait écho en moi. Ne pas oser dire, s’interdire d’exprimer ouvertement ce que l’on ressent, et finalement se bloquer soi-même.

Communication, égo et…  critique.

Communication, égo et… critique.

Chaque controverse, pourvu qu’on l’écoute, nous fait avancer, grandir.
 Il y a peu, je concluais une réflexion* par un indicateur d’arrêt de ma pensée : « si je trouve l’autre stupide, c’est que j’ai arrêté de réfléchir ».

Or voilà qu’un détracteur suscite la controverse chez nous. Certains de vouloir l’ignorer, d’autres d’y répondre par la justification. Revenant de congé, me voici apaisé, et de me dire : “Si je suis totalement en opposition avec la proposition, c’est que je ne l’ai pas comprise”. La remarque semble accusatrice, méprisante voir dénigrante, mais si je ne laisse pas cette impression de coté, si je ne parviens pas à être en accord (peu ou prou) avec, c’est que je ne l’ai pas comprise.

Or, bien souvent, nous recevons mal l’avis de l’autre parce que l’intention que nous avons mise dans nos propos n’est pas celle qui est remarquée par notre pair. Nos propos ne sont pas déformés, ils sont simplement vus sous un regard auquel nous n’avions pas prêté attention.

Voici pour l’exemple :

Alors que nous publions cette image (ci-dessus/gauche), faisant partie d’un ensemble de communication du même genre,  sur l’affirmation de notre catalogue et la volonté d’ancrage de notre ligne éditoriale, nous recevons cette critique :

« j’aime bien le lancement de fleurs … »sur » (lui-même)..l’ego peut-il influencer les actions et les pensées des autres..? chez Pourpenser très certainement, bientôt 20 ans et ils n arrivent toujours pas à avoir une phrase d accroche dénuée d’égocentrisme et de clichés totalement bobo. »

Pour pouvoir écouter une critique,
j’essaye de rendre la “parole juste”.

Parfois, nous nous fâchons, nous n’écoutons pas le fond de ce que la personne souhaite nous dire simplement parce que leur parole est “injuste”. C’est très souvent le cas avec nos enfants où l’utilisation de mots comme “toujours”, “jamais” rendent leurs opinions irrecevables.
 Dans Six accords pour vivre en harmonie, inspiré de The Four Agreements/les 4 accords Toltèques de Don Miguel Ruiz, une des propositions est de rendre la parole juste, elle permet vraiment d’apaiser les tensions. Dans le cas d’une lecture, et d’une lecture de controverse en particulier, c’est au lecteur de faire ce travail : rendre la « parole juste ».

Un deuxième élément important aussi abordé dans le même ouvrage :  ne pas en faire une affaire personnelle. Lorsque mon enfant me dit : “tu es méchant”, et si je sais, si je fais et si je me montre au quotidien à l’inverse, je sais que c’est son propre ressenti, a cet instant, ce n’est pas ce que je suis. Mon intention n’est pas celle que mon enfant me prête. Je peux alors me questionner, “tiens qu’est-ce qui fait qu’il me trouve méchant ?”.

Six accords pour vivre en

Ayant relu la critique avec ce regard nouveau, me voilà serein et en harmonie pour trouver deux points qui suscitent mon intérêt et l’envie de les prendre en compte et de vous écrire.

L’ego peut-il influer les actions et les pensées des autres ? 

L’égo est très souvent au cœur de nos échanges et discussions. Au printemps dernier Albert  est passé à une webTV autour de l’édition indépendante non sans débats. En effet, Albert mettait en avant le fait que mis à part flatter son ego, il ne voyait pas l’intérêt de passer dans ces émissions. Nous vous laissons juge. Nous savons aussi que cette même pensée freine régulièrement nos auteur.e.se pour faire leurs propres mises en avant..

Dans le même temps en tant qu’éditeur jeunesse, nous tombons régulièrement sous les coups des préjugés réducteurs, de médisances littéraires, d’image d’un contenu perçu par défaut comme superficiel et moins important. Préjugés largement battus en brèche par les témoignages des personnes ceux qui lisent nos ouvrages, ceux qui rentrent dans leurs contenus philosophiques. Chacun de se rendre compte de la différence, de la richesse de ce que nous portons.
 Si nous souhaitons cette différence, et cette richesse de contenu, nous nous en rendons réellement compte que par les témoignages. Vos témoignages sont notre seule manière de nous repérer et savoir la qualité de ce que nous proposons. Après 20 ans d’existence, nous commençons à recevoir les témoignages des premiers parents qui ont grandi en lisant nos contes. A chacun de ces retours, nous sommes rassurés de la qualité de ce que nous proposons au catalogue.

Accueillir, recevoir et enfin partager la gratitude de l’autre, est-ce là encore de l’égo ? Oui peut-être que quelque part dans les propos présents notre égo ressort encore.
Regardons :
Il est bon de se rappeler que l’objectif de Pourpenser n’est pas de faire des livres. Ça c’est un moyen. L’objectif est de transmettre. Nous savons comment les actes sont durs à mettre en œuvres, comment le chemin de la cohérence est difficile. Nous co-errons sur ce chemin sans bien savoir où il nous emmènera (à l’instar de cet article ;-). Partager notre volonté de rester sur ce chemin est une part de notre transmission.

Nous ne savons pas si notre ego influe sur les actions et les pensées des autres, en revanche nous avons bien conscience que les actions et pensées des autres ont une influence sur notre égo. Et nous devons en être vigilants.
 Combien il est important face au regard admiratif de nos enfants, de leur montrer que nous n’avons aucune cape rouge, que nous faisons des erreurs, que nous n’avons pas de vérité, mais que nous faisons des choix. “Je suis comme toi, avec un peu plus d’expérience, de formation, etc, sur ce domaine, c’est tout.” “Je suis comme toi, sauf que dans ce domaine m’intéresse et j’y consacre beaucoup de temps”.

Dans la campagne de communication qui nous occupe, chacune des phrases est reprise de lecteurs-rices, croisés sur nos chemins. Lorsque nous recevons ces témoignages, cela nous fait un bien fou et nous redonnent confiance en nous, en ce que nous réalisons et portons au quotidien. Évidemment, là où commence la confiance en soi, la fierté est présente. Je pense que nous sommes fiers de ce que nous portons. Pour autant, cette fierté est bien loin de l’orgueil : nous sommes conscients du ridicule de ce que nous sommes et de ce que nous portons. Et nous pensons que c’est lorsque l’orgueil arrive que l’égocentrisme commence.

Le dragon qui se regardait le nombril

C’est un sujet humain, intergénérationnel, intemporel, un excellent sujet de philosophie que nous trouvons brillamment abordé dans le dragon qui se regardait le nombril

La conscience de soi, la confiance en soi, l’affirmation de soi, l’estime de soi et … l’ego.

Nous ne pensons pas que l’ego peut influer sur les actions et les pensées des autres, mais l’affirmation de soi oui. Nous le voyons au quotidien dans toutes les dimensions, tous les secteurs, et l’ensemble des sujets. L’affirmation de ce que nous sommes est comme un ancrage : une bouée qui dis je suis là. Le bateau peut s’y repérer. Chaque personne qui s’affirme est une bouée pour l’autre.

Dans le même temps, Pourpenser est une société commerciale. Dans le sens où pour continuer notre action nous recevons notre moyen de subsistance par des finances : il nous faut vendre et donc nous faire connaître. Où plutôt, faire connaître le contenu de nos livres, de notre catalogue. Nous souhaitons (ré)affirmer notre catalogue, le (re)mettre en valeur, sous les projecteurs et lui donner du brillant.
 A l’instar qu’il est nécessaire pour Albert que nous le poussions à aller témoigner sur une webTV, que les auteur.e.s ont besoin de nous pour être mis en avant, c’est notre rôle d’affirmer et d’ancrer le projet Pourpenser. Dans 5, 10 ans plusieurs d’entre nous ne seront plus présents au sein de la maison, le projet lui, nous le souhaitons, continuera.
Il n’y a, dans notre vision, aucun ego dans ce que nous promouvons, affirmons. Et nous pensons, et espérons, que ce que nous promouvons et affirmons peut avoir une influence dans les pensées et les actions des autres.

Pourpenser n’arrive pas à avoir une phrase d’accroche.

C’est tellement vrai ! Nous ne savons pas présenter simplement et rapidement le projet de la maison d’édition. Notre fonctionnement est aussi flou pour nous que pour les autres : nous savons le vivre, mais pas le décrire. Nous savons faire vivre le projet Pourpenser pas l’expliquer.

Entre nous de longs échanges sur ce sujet. Nous n’arrivons pas à nous faire accompagner. Nous avons tenté l’aide de plusieurs entreprises de communication, la dernière réflexion en date fut au printemps de cette année 2021.
 Nous avons l’impression qu’une part de nous s’étiolerait dans ces mises en mots “communicantes” de ces entreprises “professionnelles”. Que nous perdrions une partie de notre âme.

Des mises en mots, nous en avons pleins : par les auteur.e.s, par les retours des lecteurs, pleins de mises en mots de communications. Alors, notre communication part dans tous les sens, et finalement nous ressemble. Une communication qui nous suit suivant nos aléas de la vie, là où se porte notre attention, suivant les réflexions, quitte à ce que le message global, celui que porte le projet de la maison d’édition ne soit pas clair.

Car comment un autre que nous pourrait-il mieux que nous mettre en mot ce qu’est le projet Pourpenser ? Comment pourrait-il mieux que nous communiquer ? Pourquoi s’enfermer dans une phrase, une sélection de communication ? Et puis nous n’en voulons justement pas de ces phrases, de ces slogans qui nous sembleraient égocentriques ?

– « Tiens, y aurait-il un peu d’orgueil dans ce positionnement et ces questionnements ? Peut-être même de l’égo mal placé ? »

Ainsi le détracteur à notre communication aurait-il réussi à pointer un problème d’égo dans notre difficulté à nous faire accompagner dans une communication que nous ne voulons justement pas égocentrique. Hum, cela mériterait sans doute un autre billet complet sur le sujet ! 

L’orgueil n’est jamais loin, merci pour votre vigilance.

(*Voir l’article sur : sur ce que nous souhaitons transmettre à nos enfants mais que nous ne savions pas appliquer pour nous même)

Joinfediverse : la porte d’entrée pour les alternatives à Instagram, Facebook, Youtube & co

Joinfediverse : la porte d’entrée pour les alternatives à Instagram, Facebook, Youtube & co

Vous savez que ce que vous lisez, regardez, écoutez est tracé et utilisé pour déterminer vos goûts, votre personnalité, vos comportements à venir.

Vous souhaiteriez retrouver une utilisation libre et plus raisonnée des médias sociaux ?

Alors le site Joinfediverse.org est pour vous !

Depuis quelques mois nous vous parlons régulièrement du fédiverse : a été pour nous l’occasion de tester à la fois le partage d’événements, de vidéo et d’information sans avoir recours à des plateformes qui se nourrissent de nos données et appliquent des algorithmes que nous ne maîtrisons pas.

Nous comprenons bien que pour beaucoup d’entre vous tout ceci reste compliqué à comprendre.

Par ailleurs, Facebook, Instagram, Youtube (et plus généralement les GAFAM) se sont tellement invités dans nos vies ces 10 dernières années que déconstruire demande un peu d’effort et souvent un temps que nous préférons consacrer à autre chose (et pendant ce temps… nous continuons de nourrir ces plateformes…)

Heureusement, des personnes à la fois talentueuses et compétentes mettent en place des outils pour nous faciliter la vie : Un grand merci et bravo à @maiwann @ClaireLemoine @tykayn @Lapineige @davidrevoy et @newick d’avoir créé avec le site Joinfediverse une porte d’entrée qui nous permet de découvrir tranquillement la richesse et la joyeuse complexité de cette fédération d’univers.

Portrait de jardinière : Gwladys BAUVINEAU

Portrait de jardinière : Gwladys BAUVINEAU

Au début des années 2000 nous présentions nos livres de la façon suivante :
Ces histoires ne sont que des graines :  
Nous ne savons pas quel terreau les accueillera.
Seront-elles arrosées régulièrement ?
Se mettront-elles en dormance pour ressurgir plus tard ?
Ou bien germeront-elles immédiatement ? 

En 2020, nous avons lancé le réseau des « Jardinier·e·s de Pourpenser » pour réunir celles et ceux qui souhaitent nous aider à cultiver le questionnement auprès des familles.
Dans cette série de billets nous invitons les jardiniers et jardinières qui le souhaitent à venir se présenter et à nous expliquer ce qui les relient à Pourpenser.

Aujourd’hui, nous vous présentons Gwladys

Métier : Intervenante professionnelle Yoga & Relaxation

Zone Géographique : St-Hilaire de Clisson (44)

Sa page Facebook

Son Instagram

Son site :
https://yogaclisson.fr/

Bonjour Gwladys, peux-tu nous dire pourquoi tu as rejoint l’aventure des jardinières de Pourpenser ?

J’ai rejoint Pourpenser en avril 2020 avec l’envie profonde de diffuser des graines de magie dans la vie des enfants et des familles. Je suis professeure de Yoga enfants/ados/famille, conseillère bien-être et ambassadrice Mon Moment Magique. Je propose des outils de mieux-être simples et accessibles pour toutes les familles et les enfants de tout âge. Je connais les Editions Pourpenser depuis déjà quelques années et c’est tout naturellement que j’aime en parler lors de mes ateliers.

La particularité ou plutôt les particularités de Pourpenser c’est déjà sa proximité (je suis à Clisson), ses valeurs de partage, de bienveillance, le fait que ce sont des histoires écrites/illustrées avec sens, amour et magie par des artistes qui demandent à s’exprimer

Quel lien entre Pourpenser et ton activité professionnelle ?

Je trouve cela top de pouvoir parler de pleins de sujets avec simplicité autour du développement personnel avec les enfants, les ados. C’est doux et précieux. Je recommande !

J’ai commencé l’aventure à la veille de la crise sanitaire mais rien que la présentation des livres de bouche à oreilles fait déjà sens et permet de diffuser ces pépites autour de soi.

Un coup de cœur dans le catalogue de Pourpenser ?

Le choix est vaste mais celui que je recommande est « Les voyages d’Ulysse » d’Aline de Pétigny.

C’est un livre poétique, doux qui questionne sur notre relation à nous-même, à la connaissance de soi, à notre lien à la nature. Ressentir notre environnement et accueillir ce qui se passe en nous.

Portrait de jardinière : Valérie BOISNEAU

Portrait de jardinière : Valérie BOISNEAU

Au début des années 2000 nous présentions nos livres de la façon suivante :
Ces histoires ne sont que des graines :  
Nous ne savons pas quel terreau les accueillera.
Seront-elles arrosées régulièrement ?
Se mettront-elles en dormance pour ressurgir plus tard ?
Ou bien germeront-elles immédiatement ? 

En 2020, nous avons lancé le réseau des « Jardinier·e·s de Pourpenser » pour réunir celles et ceux qui souhaitent nous aider à cultiver le questionnement auprès des familles.
Dans cette série de billets nous invitons les jardiniers et jardinières qui le souhaitent à venir se présenter et à nous expliquer ce qui les relient à Pourpenser.

Aujourd’hui, nous vous présentons Valérie

Métier : Accompagnante en parentalité

Zone Géographique : 32190 Vic Fenezac

Sa page Facebook

Son site :
http://www.eduquer-grandir.com

Bonjour Valérie, peux-tu nous dire pourquoi tu as rejoint l’aventure des jardinières de Pourpenser ?

Quand j’ai découvert les Éditions Pourpenser, j’ai eu un vrai coup de cœur : cela correspondait tellement à ce que je transmets en ateliers 🙂 Eduquer-Grandir offre des ressources pour vivre dans la joie au quotidien.

J’ai eu l’élan de les soutenir. Après avoir discuté avec Aline, elle m’a proposé de devenir Jardinière : c’était nouveau, les éditions innovaient dans un nouveau mode de distribution. J’ai adoré le concept, d’autant que nous vivons sur une micro-ferme. Depuis, j’aime faire découvrir ces livres et ces jeux chaleureux qui aident à grandir avec humanité.

Un coup de cœur dans le catalogue de Pourpenser ?

Je choisis de présenter Paroles de fées pour la poésie et la justesse des textes, pour la délicatesse des graphismes, pour tout ce que de simples cartes ouvrent dans l’imaginaire…

Thème : Overlay par Kaira. Hébergement Yunohost
www.pourpenser.fr