Catégorie : compromis

Pas de pistage chez Pourpenser !

Pas de pistage chez Pourpenser !

La CNIL estime que le transfert des données collectées par Google Analytics est illégal, ça tombe bien : chez Pourpenser nous n’utilisons pas Google ni d’autres outils pour vous pister sur notre site !

La nouvelle a fait bouger quelques millions d’octets ces derniers jours que ce soit dans des médias spécialisés comme le Journal du Net, Numérama, LMI ou généralistes comme Le Monde ou Le Figaro ou Libération.

Il existe bien un outil ouvert proposant des fonctionnalités performantes d’analyse du trafic d’un site web et compatible avec la législation française et la RGPD. Mais pour le moment nous ne nous sommes pas résolus à utiliser ce type de pistage, même anonymisé, tel que le propose Matomo.

Alors oui, sans doute ne sommes nous pas ultra performants dans nos emails et notre marketing digital. Peut-être devrions nous porter un peu plus d’attention à celles et ceux qui nous disent qu’il est possible d’allier responsabilité numérique et pistage…

Mais pour le moment, nous ne sommes pas convaincus et nous continuons de faire confiance au bouche à oreille sans algorithmes, à la recommandation d’humain à humain, pour faire connaître ces livres qui nous touchent et que nous proposons à notre catalogue.

Organiser son travail, gestion des priorités.

Organiser son travail, gestion des priorités.

J’ai ri de moi, mercredi dernier, en voyant ce que j’avais fait d’une bonne partie de ma journée alors que je suivais la veille, le mardi, une journée professionnelle avec le Coll.LIBRIS et Livre et lecture en Bretagne sur le thème : optimiser son temps de travail et gérer ses priorités.

Mardi, nous avons longuement échangé sur là où nous mettions notre énergie.

Les éditeurs du coll.libris, sont tous plutôt engagés, le travail que nous réalisons se situe bien souvent dans la vocation, la passion, et avons du mal à passer dans l’Ikigai. Ensemble mardi, nous avons repris les ToDoux listes de chacun. Et au réveil mercredi matin j’étais vraiment volontaire pour être dans l’Ikigai ! Surtout que la maison d’édition à un besoin cruel de diffuser son catalogue et sa brochure.

Puis voilà que j’entends l’interview d’un politique sur les difficultés de mises en œuvre des objectifs carbone de la cop26 sur les transports. Je ne pouvais plus travailler dans l’Ikigai, mes émotions, ce que j’avais envie de témoigner était trop fort. Je basculais dans le sentiment de vide de ma mission, en dessous de l’espace Ikigai du schéma.

Alors, à l’instar de Sha, le chat, révolté par le saccage de la planète par les hommes, il me fallait me mobiliser. Je ne pouvais pas convoquer une Assemblée générale de tous les animaux…

Alors je réfléchis à une autre manière de me mobiliser. Trouvant sur voxpublique les mails des députés de ma circonscription, des autres députés en charge du développement durable, du cabinet ministériel et j’écrivis :

« Lettre ouverte au Ministère chargé des transports, rattaché au ministère de la transition écologique

Messieurs, Mesdames,

Ayant déjà interpellé directement les députés de ma circonscription, je profite d’une situation concrète pour illustrer  une problématique nationale.

Cela fait déjà de nombreuses années que m’interroge sur le coût, pour les usagers, du voyage par le train et les objectifs de transition écologique. Si nous avons un réseau ferroviaire régional et national formidable, avec des trains de qualités, le coût reste exorbitant, en regard des autres moyens de transport (voiture et même avion).

Voici un exemple concret d’une liaison régionale : Angers-Rennes (49-35), pour illustrer mon propos.

Habitant en périphérie sud de l’agglomération d’Angers je prends ma voiture pour rejoindre la gare.
Je mets autant de temps à rejoindre la gare que le parking relais du tramway.
Ce dernier met 10′ pour rejoindre la gare, le matin il démarre à 5:48, seuls les trains SNCF à partir de 6:05 sont accessibles par ce moyen de transport. Le soir à partir de 20h30 le tramway fonctionne toutes les 20′.
Entre le temps supplémentaire de trajet (30′ de plus minimum), et des horaires non compatibles, je rejoins donc la gare en voiture.

Je mets ma voiture au parking pour la journée : 22,80€
Coût du train aller-retour : 28,60€ x2 =57,20 €
Coût total aller-retour : 80€.
En comparaison, ce déplacement avec mon véhicule diesel, m’aurait coûté seulement 30€.
(Je mets de coté le fait que nous étions 2 à faire le déplacement, dans notre déplacement réel, le coût du train est donc multiplié par deux.)

Voici ma question :
Sachant que prendre le train au lieu de la voiture a un impact environnemental évident et qu’un tarif de transport accessible à tous a un impact sociétal également évident.

A quel moment pensez-vous que, pour un individu voyageant seul, le coût du train deviendra toujours inférieur, aux autres moyens de transport : moto, voiture, avion ?

Voici un objectif clair, mesurable facilemententrant dans les enjeux de la COP26, dans les urgences pointées par le rapport du GIEC, dans les problématiques sociétales actuelles. Enfin, au regard des complexités actuelles, cet objectif me semble facile à mettre en œuvre.

Qu’en pensez-vous ? »

La tache rouge
#que faire d’un problème

À ce jour sur plusieurs dizaines de mails, de listes, et d’interpellations directes je n’ai aucune réponse.

Ce n’est pas grave, car comme dans la tache rouge, j’étais content d’avoir transformé mes idées sombres apparues le matin, en joli soleil.

Pourtant, le mercredi midi, après avoir passé la matinée sur le sujet, ma culpabilité revenait. Un peu, car je trouvais plutôt drôle de regarder avec un pas de côté, les échanges de la veille sur la nécessité de prioriser, ce que j’avais prévu et le constat de ce que j’avais réellement fait. Suivant le schéma ci-dessus, j’avais fait le chemin inverse, du vide à la précarité, sans passer par la case Ikigai.

J’étais pourtant en accord avec ma vraie nature, et j’avais suivie mon intuition. J’étais en cohérence avec ce que nous proposons dans nos ouvrages, ce que je transmets en atelier…

Oui et comme l’objet de la maison d’édition est de transmettre sur des sujets sensibles et positifs de la vie. Il ne me restait finalement qu’à vous partager mon expérience. 😉
Merci pour votre lecture, je vous souhaite plein de belles inspirations !

Innovation en éducation : le pas de coté

Innovation en éducation : le pas de coté

Un grand merci à tous les bénévoles, à Julien Péron, et toute son équipe pour ce beau WE de partage de compétences autour de l’éducation.

De riches réflexions qui apportent de multiples inspirations, et puis il y a les rencontres, les parcours et les chemins de vie. Ces chemins qui amènent à porter un regard sur la vie et qui posent les réflexions. Ces chemins m’intéressent autant que les réflexions ou les idées elles-mêmes : comment ton idée est-elle venue ? Quel est ton parcours ? Nous comprenons mieux les idées lorsque l’on saisit leurs naissances, leurs voyages.
Puis viens le temps de l’échange et du partage, celui qui nous enrichit, enrichit nos idées et les augmente. Nos réflexions ont besoin du partage, de l’entente ou de la controverse pour grandir avec nous.

Quelle innovation pour l’éducation ?

« Quelle innovation pour l’éducation ? » est la question qui m’a été posée. Dans l’exercice, je n’avais la possibilité de proposer qu’une seule idée, une seule innovation. À cet instant, ce qui me sembla important était de témoigner de la richesse des diversités éducatives. Parce que justement, il n’existe aucune formation, aucun type d’éducation qui était « La solution ».

Réduire ainsi la question, sur un sujet complexe, à une seule innovation m’a déstabilisé.

Se former, diversifier, interagir, échanger les pratiques pour finalement se faire sa propre idée et suivre son chemin; éduquer avec notre histoire, nos envies aussi.
Se faire plaisir surtout. Se faire plaisir sur tout. Dans la transmission, accepter que ce que l’on transmet ne semble pas toujours pris et utilisé par l’autre, par l’enfant… Il en reste toujours quelque chose. Laisser vivre son intuition, tester, accueillir, se questionner, faire des erreurs et ECOUTER.

Et puis, « l’innovation » extérieure existe-t-elle ? L’innovation est en chacun nous, peut-être…
Et puis aussi :

« Arrêtons de vouloir. Cessons d’être en attente de résultat. Soyons conscients des problèmes que nous créons aux enfants en n’étant pas réellement à leur écoute. Arrêtons de vouloir. Si je suis en train de vouloir, je ne suis pas à l’écoute de ce qui se passe, je ne suis pas prêt à accueillir ce qui est, mais je suis en attente de ce que je veux. »

Extrait arrêtons de vouloir – Aline de Pétigny

Depuis, cette question, « quelle innovation en éducation ? » est resté là. A boucler dans ma tête. La réponse que j’avais donnée ne faisait pas vraiment sens pour moi. Il manquait quelque chose d’essentiel. Même cette diversité n’était pas le cœur de l’innovation en éducation que je pensais nécessaire. J’étais passé à côté de ce que je ressentais. Et puis, ce matin je lis dans cet interview d’Edgar Morin, « Bien des problèmes importants et même vitaux sont exclus de l’enseignement comme celui des sources d’erreur et d’illusion, la compréhension d’autrui; on ne nous enseigne pas ce qu’est notre identité humaine. »

Une réforme des esprits.

Que se passerait-il si nous positionnons comme préalable à toute instruction la découverte de soi, le développement de la pensée, les interactions, le vivre ensemble, la relation à la nature. Si nous considérions la création, la pratique de la philosophie, les arts, non comme des luxes, comme des matières annexes, mais une nécessité pour faire société, pour changer de paradigme et vivre mieux.
Finalement le savoir-être et le vivre ensemble ne sont-ils pas à la base de l’éducation ? L’innovation serait donc les bases, les fondements. Hors de tout concept, technique ou manière de présenter l’instruction. Hors Montessori, Freinet, Apprentissage des émotions, éducation bienveillante, pédagogie positive, il existe l’écoute, la relation à l’autre, savoir être, réellement, avec l’enfant, vivre ensemble, avec l’enfant, sans domination, il existe ce que nous savons au plus profond de nous, ce que le cœur transmet que l’esprit ne comprend pas.

Adultes, nous passons des heures à tenter d’échanger, de collaborer, à se parler. Que nous sommes nuls ! Quels handicapés faisons-nous ! Regardons-nous, tous des « responsables », maîtres du Monde, politiques, syndicats, entreprises, maîtres d’école, parents dans leur foyer : nous ne savons pas faire !

Pour les Zins, Discipline positive, éducation bienveillante, pour les Zôtres, IEF, CNV, bien être, je vois beaucoup d’interventions pour nous dire « Comment » modifier l’éducation, très peu sur « quoi » changer dans l’éducation. Finalement des changements de forme pour peu de changement de fond. Et aucun changement pour nos enfants qui veulent seulement Zêtres.

Certes, je suis convaincue que la forme est importante, la manière de parler à l’enfant et d’être avec lui est importante, mais comme avec chacun de nos pairs. C’est vrai dans toutes nos relations, pas seulement avec les enfants.

Mais oui il faut y porter une attention particulière, comme pour la femme, les handicapés, les anciens, les réfugiés, toutes ces minorités, qui ne sont mineurs que parce qu’on les place dans des cases trop petites. Comme ces minorités, donc, il reste encore un sacré chemin à parcourir pour prendre l’enfant comme un être humain égal à l’adulte. Et c’est essentiel, car, aujourd’hui encore, l’enfant est pris comme un demi-humain, un sous-humain, au lieu d’être pris comme un super humain : celui (le seul) qui à toutes les capacités en lui au départ. Adulte on a élagué !
Un sacré chemin à parcourir, pour prendre soin de chacun et de chaque chose de la vie et en particulier des enfants.

La forme pour mieux respecter nos enfants est importante, comment je présente mon respect c’est important. Le fond, le « respecter réellement » encore plus. Changer de forme sans changer le fond ne changera rien.
Et tant que l’on a besoin de la forme, c’est une béquille. J’aurais, personnellement besoin de la forme pour changer mon fond, et ce jusqu’à la fin de ma vie. J’espère que les enfants en auront moins besoin.
Si nous ne changeons pas les priorités, réfléchir à ce que nous voulons transmettre à nos enfants, un équilibre entre le fond ou la forme, les bases nécessaires à l’adulte, alors tout changement ne sera que peu de chose, toutes les innovations ne seront que de petites avancés.

« Il y a sclérose et immobilisme qui nécessitent une réforme des esprits autant difficile que nécessaire. »

Edgar Morin

C’est pour cela que je n’ai pas pu répondre à la question « Quelle innovation pour l’éducation ». La création, la pratique de la philosophie, les arts, existent depuis la nuit des temps. Il n’y a aucune innovation, il suffit de ne pas oublier, de ne pas s’oublier. Et c’est ce que nous tentons de faire et de transmettre chaque jour par nos livres depuis 20 ans.

La magie de l’internet…

La magie de l’internet…

 

Chez Pourpenser nous essayons de cultiver une forme d’équilibre entre l’acceptation de ce qui arrive tout seul, sans effort et comprendre comment les choses s’articulent, se mettent en place. La magie c’est beau, mais s’apercevoir après coup qu’il y a « un truc » peut faire mal (impression de s’être fait avoir) ou bien susciter notre admiration (acceptation de s’être fait piéger par nos sens ou le talent des magicien·ne·s).

Dans notre société hyperconnectée, il est quelque fois compliqué de faire la différence entre une synchronicité, un hasard et un algorithme bien placé qui nous affiche exactement ce dont nous avons « besoin » au moment opportun.

En tant qu’éditeurs, l’un de nos rôles est de faire connaître le travail des auteur·e·s qui nous confient leurs projets, de mettre en lien les créateurs et leurs publics.

Pour créer ce lien nous nous appuyons sur plusieurs canaux :

  • les rencontres à travers les salons, les festivals ou de plus petites rencontres « chez l’habitant » ;

  • le bouche à oreille, la recommandation de nos lecteurs et lectrices à leurs ami·e·s ;

  • les points de ventes ou d’exposition, que ce soient des librairies, des bibliothèques ou des magasins qui aiment tout simplement proposer nos livres en plus de leur offre habituelle ;

  • notre site internet ;

  • les réseaux sociaux tels que Facebook, Instagram, Pinterest, Twitter, Mastodon, Youtube

En 2013, nous avons quitté Amazon pour les raisons que nous expliquions alors, mais également parce que l’idée d’une plateforme qui piste toutes les habitudes d’achat et de lecture de ses clients nous pose question.

Au delà, d’Amazon, c’est plus largement notre relation à une centralisation des données par des acteurs privés qui nous préoccupe. Amazon, tout comme Netflix, Google ou Facebook nous connaissent souvent mieux que nous nous connaissons nous-même. Ils sont capables de profiler leurs utilisateurs avec une finesse à rendre jaloux des États totalitaires. Et tout cela avec notre consentement…

Dans le milieu des années 90, nous étions quelqu’un·e·s à rêver d’un internet reliant les créateurs et leurs publics, sans intermédiaire ou uniquement ceux souhaités. Ce rêve est toujours techniquement possible mais nécessite de part et d’autre un peu plus d’effort que des plateformes surfant sur notre manque d’intérêt (ou de connaissance) et notre quête du moindre effort.

Et aujourd’hui dans la maison d’édition…

Régulièrement, chez Pourpenser nous avons des débats du style :

— Et si on quittait Facebook et Instagram ?
— Oui, mais comment toucher autant de personnes que nous le faisons aujourd’hui ?
— On pourrait aller sur un réseau libre et décentraliser comme Mastodon
— Et pour être vu par combien de personnes ?
(Aujourd’hui notre compte Mastodon est suivi par 72 personnes contre 28200 sur Facebook, 2660 sur Instagram ou 538 sur Twitter)

— Et si on allait sur Peertube plutôt que Youtube ?
— Et qui va nous trouver ? Là, mine de rien Youtube nous permet d’être découvert par de nouvelles personnes que nous ne touchons pas ailleurs !
(Aujourd’hui notre serveur Peertube est en création, et on continue de publier sur Youtube)

La question s’est posée encore très récemment pour les Podcasts qu’Aline et d’autres auteurs et autrices enregistrent pour présenter leurs livres :

— On pourrait mettre en place un serveur Funkwhale ou publier sur une instance existante !
— L’interface n’est pas claire, y’a trop d’options, y’a pas plus simple ?
(Nous sommes plusieurs à utiliser les outils, il faut que chacun puisse se sentir à l’aise avec. Pour le moment, nous avons donc fait le choix de passer par Ausha qui republie ensuite en un clic sur les grandes plateformes souhaitées : Deezer, Spotify, Google podcast, Youtube, Itunes… et nous publions de notre côté sur notre site).

Faire au mieux…

Bref, il nous faut concilier entre nos choix de privilégier des solutions libres, ouvertes et des outils simples pour toucher un public aussi large que possible pour faire connaître les livres du catalogue.

Contribuer à nourrir ces plateformes qui se nourrissent à leur tour de nos données pour mieux nous profiler n’est pas le monde auquel nous souhaitons participer.
Mais comment alors réussir à toucher de nouveaux publics alors même que la crise COVID nous prive des rencontres physiques ?

Aujourd’hui, nous essayons de faire « au mieux » en gardant un pied de chaque côté, en parlant de plus en plus des alternatives existantes et en y contribuant à notre hauteur.

Nous pourrions tout à fait imaginer à terme ne poster sur les mega-plateformes qu’un ou deux messages par an pour inviter les personnes à venir nous retrouver sur nos propres sites.
L’idéal serait même de regrouper quelques dizaines (centaines ? 🙂 ) d’entreprises qui partagent ce souhait de cohérence et d’annoncer notre départ des plateformes le même jour.
L’idée est lancée… 🙂

Poursuivre la réflexion…

Pour celles et ceux qui souhaitent creuser un peu plus le sujet des plateformes voici un entretien de Jean-Baptiste Kempf, l’une des chevilles ouvrières du projet VLC (un logiciel que vous utilisez peut-être pour regarder des videos sur votre ordinateur). Il parle du sujet de 19:50 à 29:00. Le livre mentionné dans les premières secondes est Capitalisme de plateforme de Nick Srnicek aux éditions Lux.

 
NOTE :
Comme vous avez pu le remarquer, ce billet à charge contre les plateformes est publié sur …  Blogger 🙂

Blogger est une plateforme de blog créée en 1999 et qui appartient à Google depuis 2003.
Nous avons fait le choix de Blogger en 2009 car à l’époque il nous semblait que c’était un outil intéressant pour favoriser le référencement de notre site internet.
L’idée selon laquelle « Blogger est mieux référencé car il appartient à Google » semble être un mythe et nous allons donc regarder prochainement pour changer l’hébergement de ce blog sans en perdre le contenu.
 

NOTE DE JANVIER 2021 :
Ce début janvier un peu plus calme nous a permis de faire la migration nécessaire de ce blog ! Nous voici donc sur un petit serveur que nous administrons avec un blog propulsé par WordPress 🙂

Thème : Overlay par Kaira. Hébergement Yunohost
www.pourpenser.fr