Auteur/autrice : Pourpenser

Partager un sourire donne des ailes à l’amour

Partager un sourire donne des ailes à l’amour

Servir la vie

Un texte de Marie-Chantal Denis-Lutard

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Partager un sourire donne des ailes à l’amour.

Partager un silence autorise  l’amitié, car écouter profondément laisse le temps à l’autre de plonger en lui et de cheminer dans sa pensée.

Partager sa joie comme la rivière se donne à la mer, comme la terre partage ses parfums sans rien attendre en retour, sans quête de reconnaissance qui corrompt le partage spontané.

Ce n’est que lorsqu’on partage ce qu’on est vraiment,  que l’on est Don à la Vie.

Partager son savoir, ses connaissances entièrement, c’est faire advenir la Vie, c’est laisser un chemin pour les générations futures.

Vouloir partager en se retenant, c’est retenir la Vie. Retenir c’est mourir.

Partager ses idées, son savoir, ses livres, une idée, c’est semer des graines, peu importe où elles pousseront,  c’est servir la vie.

Un extrait de « Pense à sourire » le magazine de Pourpenser que vous pouvez télécharger gratuitement sur le notre site. 

Extrait de :
Pense à sourire N°7

Découvrez les autres titres édités chez Pourpenser Editions sur le don et le partage : 

L'enfant le chat et l'oiseau 

L’oiseau, l’enfant et le chat, un album jeunesse tout en délicatesse sur l’attention et l’amour.

Paroles de fée - Pactes d'amour 

Pactes d’amour, de la collection « Paroles de fée » aborde le questionnement de notre relation à l’amour et à la vie.

Le singe et la pêche

Le singe et la pêche, un conte drôle et poétique sur la cupidité, le partage des ressources et la différence entre besoin et envie…
Editions pour penser à l’endroit – www.pourpenser.fr
Le partage…

Le partage…

Le partage


Un texte de Galou accompagné de l’une de ses illustrations et d’une aquarelle de Maiwenn Coatanea.

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Plus je m’interroge sur le thème du partage, plus je découvre l’immensité du sujet…Il englobe tant de choses à la fois qu’il me semble difficile de l’aborder dans sa globalité !

Selon moi, il nous amène à nous interroger sur la notion d’ouverture, d’authenticité, de « nourriture » au sens large : de quoi nous nourrissons‑nous ? Que souhaitons-nous partager réellement avec l’autre, avec les autres ? Avec soi ? Que partageons‑nous de nous-mêmes ? Osons-nous nous montrer tels que nous sommes ? Sommes‑nous capable de jouir de la présence de l’autre ? Y-a-t-il de la place dans notre cœur pour recevoir ? Il ne s’agit pas d’être quelqu’un d’exceptionnel qui n’aurait plus de peur ni de colère, mais aimons-nous sincèrement qui nous sommes pour le partager avec d’autres ? Acceptons-nous nos vulnérabilités pour les sublimer, les transformer en force, et ainsi juste s’abandonner au plaisir d’être, de vivre et de partager cette humanité à travers nos singularités propres à chacun/e ?

Pouvons-nous nous défaire de ces manteaux trop lourds à porter ? Ceux que l’on endosse pour se cacher notre vérité ? Ceux qui étouffent nos cris et nos peines, nos joies et nos rires, pour sembler lisse et disculpé de toute honte dissimulée ? Quel crime avons-nous commis pour mériter un tel fardeau ? quel secret souhaitons-nous oublier ? Pouvons‑nous oser un regard sincère ? Retrouver notre dignité d’être vivant tout simplement ? Quel pacte avons-nous passé avec nous-même pour nous empêcher de rayonner notre lumière ? 

À quel étage est logé notre orgueil ? À quel endroit tirons partie de ce fonctionnement ? Qu’est-ce qui nous arrange à maintenir nos distances ? De quoi avons-nous peur ? D’être jugés ? comparés ? N’est‑ce pas plutôt notre propre regard sur nous-mêmes qui nous éloigne de notre vraie nature ?

Tant de questions que je lis en moi… 

Aïe… Je m’aperçois que cela dissone dans ma poitrine… Je sens une différence entre ce que j’aimerais partager et la réalité que je vis…

Qu’est-ce que j’aimerais partager ? Avec qui ? Je crois qu’avant tout, j’aimerais me sentir en lien avec les autres, et cela précisément m’est difficile… Pourquoi ? Parce que cela me demande de me montrer telle que je suis… Et je ne me sens pas forcément fière de ce que je suis…. Cela m’évoque l’image que j’ai de moi, que je n’estime pas très reluisante…

Donc le partage serait possible si on s’aime soi-même ?

Le partage pour moi c’est aussi donner et recevoir… 

Mais puis-je vraiment recevoir ? Vraiment donner ? Et puis donner quoi au juste si je ne m’estime pas moi-même ???

Illustration de Galou

Donner ma tristesse ? Donner mon manque de confiance en moi ? Est-ce que partager mes chagrins peut servir à d’autres ? Ai-je autre chose à donner, à partager ? Oui évidemment, mais je sens beaucoup de peur, donc ce qui vient en premier est plutôt négatif à mes yeux…

Ce qui vient quand je me détends, ce sont les sourires, les regards, les chants, la danse, les rires, les bons repas entre amis… Et là, je me rends compte que dans ma vie, je ne nourris pas assez cela !

Pourquoi ?  

La plupart du temps, je me mets à l’écart, j’ai du mal à prendre ma place, en deux mots j’ai peur. Peur de quoi ? Du regard des autres, de la comparaison qu’inévitablement je fais entre l’idée que j’ai de leur vie et la mienne… 

Au-delà de tout cela, je commence à reconnaître une forêt luxuriante de richesses intérieures. J’ai beaucoup de choses à dire, mais j’ai peur de ne pas pouvoir, de ne pas arriver à les dire.

Que seraient ces richesses ? 

Des fruits, des fleurs, des papillons, des lucioles, des couchers de soleil, des silences, des ruisseaux, des couleurs, des odeurs de pluie, des lèvres qui s’effleurent, des mains qui se touchent, des sourires, du vent dans les feuillages, des herbes qui se couchent, le crépitement du feu, la vigueur du torrent, la rondeur du caillou, la douceur de la terre…

En fait, je me sens être tout cela et je ne sais pas comment le dire dans le langage humain.

C’est si beau que je me sens trop émue pour seulement l’évoquer…

Mais partager pousse au creux de mon ventre malgré tout et je ne crois pas pouvoir rester dans mon bocal à tourner en rond encore longtemps car le désir du monde m’appelle !

 Et puis, au détour de mon cœur, je découvre qu’il y a l’attente…

Qu’est-ce que j’attends des autres ? L’estime ? L’amour ? La confiance ?

Plus j’attends et moins je peux recevoir… si le cœur est tendu, il ne peut se remplir…

J’attends des autres ce que j’ai besoin de combler en moi ! Puis-je déjà m’apporter tout cela ?

Le partage commencerait donc par s’aimer soi‑même car si je m’aime et m’accepte comme je suis, je me détends et je peux sourire… Oui mais ! Comment faire lorsque l’on ne se sent pas en paix avec soi-même ? Comment faire la paix avec soi ? Au fond, ne sommes-nous pas tous similaires ? N’avons‑nous pas tous besoin de se sentir aimés, reconnus, et estimés ? Pourquoi avons-nous peur de partager nos vulnérabilités ? Se pourrait-il que cela soit une force plutôt qu’une faiblesse ? Avoir le courage d’être tout simplement ? Retrouver la liberté lumineuse qui ne demande qu’à rayonner ? 

Est-ce que le partage ne serait pas cela : oser rayonner ensemble ?

« Déesse Solaire » • Maiwenn Coatanea

Extrait de :
Pense à sourire N°7

Découvrez les autres titres édités chez Pourpenser Editions sur le partage : 

Le jardin partagé 

Le jardin partagé, un album jeunesse sur la coopération, la solidarité, le partage. 

Le singe et la pêche

Le singe et la pêche, un conte drôle et poétique sur la cupidité, le partage des ressources et la différence entre besoin et envie…
Editions pour penser à l’endroit – www.pourpenser.fr
Pense à sourire N°7 – extrait : une BD d’Olivia Faliph

Pense à sourire N°7 – extrait : une BD d’Olivia Faliph

Tant de choses mystérieuses à découvrir…

une BD signée Olivia Faliphhttp://olivarpente.wordpresss.com/blog/ à découvrir dans le N°7 de Pense à sourire.

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Extrait de :
Pense à sourire N°7

Découvrez les autres titres édités chez Pourpenser Editions sur l’amitié : 

Le dragon qui se regardait le nombril, de Stéphanie Léon. Lorsque nos amis nous aident à mieux nous connaître nous-même.
Charlie et Belinda, de Joëlle Debraux. Un album tendre et humoristique autour de l’amitié.   
Editions pour penser à l’endroit – www.pourpenser.fr
Tu as fait de moi…

Tu as fait de moi…

Tu as fait de moi…


un poème d’Aurélie Françoise, auteure et photographe accompagnée d’une peinture sur bois sculpté de Maiwenn Coatanea « Danse les âmes ».

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Une marraine,

Ma reine, exactement 

c’est comme cela que je me sens,

lorsque dans mes bras je te prends.


Je suis riche de toi,

du choix de tes parents,

de tes sourires,

de tous ces moments,


Dans le bruit de la ville

Ou à travers champs, 

où nous avons tissé le fil

Grandissant,

de notre complicité,

depuis que tu es né.


Marraine,

marin

reine et puis rien…


Je n’y suis pour rien de ta naissance

mais je suis en charge de ton aisance

dans la vie, 

dans le jour et dans la nuit,

au creux de la vague comme au firmament,

je leur ai promis

à eux tes parents

d’être là, pour toi, un peu,

mais pas trop à la fois

juste assez pour les remercier,

eux,

ces fous qui m’ont aimée, 

assez pour partager

un peu de ton éducation,

eux,

ces fous qui m’ont laissé

embarquer sur leur voilier

direction l’horizon,

eux,

ces fous qui m’ont fait confiance,

sur la mer qui balance 

pour naviguer  

avec eux

auprès de toi


ce sentiment 

construit au fil du temps,

mêlé de confiance et d’accordance,

lui qui n’a ni nom ni de dessin

qui n’est ni amour, ni amitié

entre discrétion et proximité,

ce petit plus, cette fierté


ce sentiment si grand,

qu’il mérite bien

que pour lui soit inventé

un mot doux et coloré,

comme une invitation au voyage,

pour le chérir et l’honorer,

le marrainage me plaît assez !


Extrait de :
Pense à sourire N°7

Découvrez les autres titres édités chez Pourpenser Editions sur la famille : 

Féminin Mahler,  l’histoire d’une naissance prématurée de 2 mois.
De tout ce qui va avec : les peurs, le choc, la bulle médicale, les ascenseurs émotionnels, les risques mais aussi les victoires.

Dis-moi d’où je viens, de Katia Belsito,  un album jeunesse poétique autour de la question existentielle de notre arrivée en ce monde. 

Et puis « La vie comme un voyage » qui me semble également bien résonner avec ce poème :

Editions pour penser à l’endroit – www.pourpenser.fr
Le soleil baissait à l’horizon…

Le soleil baissait à l’horizon…

Le partage

Texte d’introduction dGalou du « Pense à sourire N°7« , sur le partage.

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La mer, d’un bleu profond dansait.

Je venais de passer dix jours en famille et je me rendais compte qu’à aucun moment, je n’avais pu savourer leur présence… pourquoi ? je n’étais pas disponible, j’avais besoin d’espace ! Pourtant c’est moi qui les avais invités ! j’étais la seule responsable,  responsable de mes choix, choix que je n’assumais pas… 

À réfléchir sur le sujet du partage, j’en venais à me dire que je n’y connaissais absolument rien, ou du moins j’en avais l’impression… Je me sentais emmurée dans une tour dont je ne trouvais pas la sortie ! Alors, de là à établir une relation avec les autres… cela m’était juste impossible ! 

J’avais besoin de me retrouver ou plutôt de me trouver, de me découvrir dans la solitude. Être face à moi-même m’apaisait. J’avais besoin de m’effacer, de regarder la cime des pins, me fondre dans les vagues et oublier. Oublier les complexités de ma vie intérieure, me reconnecter. Découvrir cette solitude m’apportait un profond réconfort, une simplicité… 

Pas de nourriture à préparer, pas de choses à penser, pas de discussion à entretenir, juste me laisser vivre, suivre mes élans, me reconnecter à la créativité que j’avais laissée de côté depuis quelques temps, écouter le silence…

Quand quelqu’un était près de moi, c’est comme si je ne m’autorisais pas, comme si l’autre prenait toute la place et que je m’empêchais d’exister… J’aurais aimé être autrement, rayonnante, sociable, joyeuse, disponible… Je me sentais tout le contraire !

Une fois de plus, je n’avais pas su écouter mon besoin de solitude qui s’imposait depuis plusieurs mois… Pourquoi ? 

Pour continuer de fonctionner « normalement » ? Pour avoir l’impression d’être « normale » ? Mais qu’est-ce que la normalité ? 

Je me rendais péniblement compte que la bienveillance que j’avais cru développer envers moi-même ces dernières années était toujours aussi fragile… Et pourtant, il y a quelques temps, je n’aurais pas pu écrire ces lignes en imaginant les partager !

Aline m’avait dit « prends ton ordi et vas‑y ! », ce que j’avais fait, mais j’aurais voulu partager une histoire, quelque chose de « présentable », de poétique, à l’image de ce que je sens en moi. 

Au lieu de cela tout ce qui venait parlait de moi et de mes difficultés… 

Un extrait de « Pense à sourire » le magazine de Pourpenser que vous pouvez télécharger gratuitement sur le notre site. 

Extrait de :
Pense à sourire N°7

Découvrez les autres titres édités chez Pourpenser Editions sur le partage

Le jardin partagé 

Le jardin partagé, un album jeunesse sur la coopération, la solidarité, le partage. 

Le singe et la pêche

Le singe et la pêche, un conte drôle et poétique sur la cupidité, le partage des ressources et la différence entre besoin et envie…
Editions pour penser à l’endroit – www.pourpenser.fr
Ce monde d’après qui existe déjà ?

Ce monde d’après qui existe déjà ?

Le monde d'après

Ce monde d’après… qui existe déjà ?

Depuis quelques semaines, il n’y a pas une journée sans l’évocation de la naissance d’un monde d’après.

Nombreuses sont les versions, du plus sombre au plus lumineux, mais beaucoup évoquent un monde plus en lien avec le vivant, où les inégalités diminueraient. Un monde où la compréhension de l’autre permettrait d’apaiser les conflits. Un monde où l’être passerait avant l’avoir et le paraître. Un monde où l’équilibre serait plus recherché que le profit…

A sillonner la France et à me documenter depuis une vingtaine d’années, je sais que ce monde-là se construit déjà depuis longtemps. Il demande juste à être mis en avant, à être proposé en modèle désirable plutôt que caricaturé ou réservé à des personnes qui ont le temps de sortir du schéma transport-boulot-dodo.

Qu’avec la crise actuelle, de nouvelles personnes découvrent qu’une autre façon de penser le monde est nécessaire, je le conçois.
Par contre, pourquoi chercher de nouvelles solutions alors que de nombreuses initiatives existent depuis plusieurs décennies ?

Réinventer est souvent joyeux, mais n’est-il pas plus efficace de s’appuyer sur l’existant, de bénéficier de son expérience et contribuer à son amélioration si cela s’avère nécessaire ?

Je ne suis pas historien, mais je sais que l’aspiration à une organisation de la société plus juste n’est pas nouvelle.

Sans remonter les siècles, il me semble que nous avons en France des associations, des entreprises, des collectifs qui œuvrent depuis 15, 20 ou même plus de 50 ans pour des rapports humains apaisés, d’autres manières d’enseigner, une agriculture respectueuse des sols, une économie solidaire qu’elle soit locale ou au delà, une alimentation saine, élément essentiel de notre santé.

Aujourd’hui, il existe bien quelques magazines (je pense notamment à Kaizen, L’âge de faire, ou Féminin Bio) qui présentent ces initiatives, mais, encore une fois, nous sommes loin de toucher 25% de la population.

Par ailleurs, la nouveauté faisant vendre, lorsque des projets sont présentés dans les médias généralistes, ce sont souvent de nouvelles ou récentes initiatives qui sont mises en avant pendant que des acteurs présents sur le terrain depuis de longues années restent invisibles.

La seule exception me semble être Carnets de campagne sur France Inter. Un grand bravo et merci à Philippe Bertrand pour sa ténacité.

Je parlais par exemple dernièrement avec Anne-Laure Nicolas : l’écolieu du Bois du Barde a plus d’une dizaine d’années. Ce projet est riche d’expériences à partager. Je pense également à nos maraîchers, Irène et David, (en bio depuis 1996, et en non travail du sol depuis 2012). Qui connaît ces projets en dehors du bouche à oreille ?

Je suis certain que chacun·e de nous connaît ainsi un ou deux projets exceptionnels dont aucun média ne parle et qui nous montre que ce monde d’après existe déjà.

Alors, je prends un engagement et vous propose un petit défi ici !

Albert.

 

3 livres pour cet été !

9782371761254
208 pages – monochrome
Format 14,8 x 21 cm
A partir de 15 ans
16,50 €TTC

Auteure : Isabelle Steenebruggen

Être son fils

Hors collection, cette histoire est pour vous, adultes. Bouleversante, époustouflante, une aventure presque vraie, qui nous ouvre les yeux sur les autres réalités de notre monde : le Sri-Lanka des années 70 à aujourd’hui, le parcours d’un enfant seul.

Et, en lisant l’histoire d’Hidli, on intégre le véritable sens du commerce équitable.

Isabelle Steenebruggen de lapachamama.eu distribue nos livres pour la Belgique. La plupart de ses fournisseurs viennent du Sri-Lanka.

Déjà disponible

Voir le livre

Barnabé et la tour d’Ivoire

Un regard, un pas de côté sur la société, l’environnement et le vivre-ensemble.

Barnabé De Mont Moulin D’Escalope Sur Jus De Groseille est énervé que personne n’arrive à retenir son nom en entier. Il décide de partir à la conquête de la gigantesque Tour d’ivoire pour graver son nom dans les mémoires.

Il vivra une grande aventure et des expériences incroyables. Son ascension le confrontera à des personnages hauts en couleur, aux logiques étranges. Il fera aussi de belles rencontres, qui se termineront parfois par des adieux déchirants.

Acharné, il va mûrir et apprendre quelque chose de très précieux.

232 pages d’une épopée mêlant le burlesque, des rencontres dignes de celles du Baron de Münchhausen, et des réflexions de celles du petit prince… Un roman d’aventure jeunesse dans lequel les adultes adoreront se replonger…

Lecture autonome à partir de 10 ans.
270 pages N&B
Format 15 x 21 cm

15 €

Auteur : Nicolas D. Morillon
Illustrateur : Baptiste Puaud

 

Déjà disponible
Fait partie de l’AMEL

Voir le livre

Dès 4 ans
48 pages couleurs
Format 20 x 20 cm

12,50 €

Auteure – Illustratrice : Aline de Pétigny

Les voyages d’Ulysse

Qui sommes-nous réellement ?

La poésie et l’imaginaire sont des sources qui nous nourrissent, nous relient à nous-mêmes et donc aux autres, des fils pour ne pas se perdre, des liens pour se retrouver.

Laissons-nous nous reconnecter à la nature, aux éléments, aux arbres, aux animaux et laissons la place à la magie de l’imaginaire !

 

A paraître le 25 juin
Fait partie de l’AMEL

Voir le livre

Le choix des sujets, un parti pris.

Nous recevons pas loin de 200 projets par an. Un coup de cœur, une émotion présente, un rire, des larmes, des frissons, le questionnement, c’est tout cela qui va guider nos choix.

Temporaire
Editions pour penser à l’endroit – www.pourpenser.fr
Les 12 histoires du confinement…

Les 12 histoires du confinement…

A l’occasion du confinement, comme les salons me manquaient, je me suis mis à raconter quelques histoires, à raison de 2 rendez-vous hebdomadaires.
Au total ce sont 12 histoires que j’ai racontées, seul face à la caméra.
Un grand merci aux auteurs et autrices qui m’ont ainsi permis d’interpréter librement ces histoires.

Patate le dragon

une histoire de Stéphanie Léon à découvrir sur le site

La tache rouge

une histoire de Pierre Hédrich, illustrée par Galou, à découvrir sur le site

Tom et Rico

une histoire de Galou, à découvrir sur le site

Le jardin partagé

une histoire de Sandrine Marie-Simon, illustrée par Philippe Gaufreteau, à découvrir sur le site

L’objet magique

une histoire de Gwenaëlle Doumont, illustrée par Céline Claire, à découvrir sur le site

Il y a des jours…

où tout ne se passe pas comme prévu, et là je parle de l’AMEL 2020
Art-mella en parle également très bien ici sur son blog.

Mademoiselle dans la lune – extrait du Panse cœur

une histoire d’Alexandra Lucchesi, illustrée par Laura Hédon, à découvrir sur le site

Histoire de temps

une histoire de Galou, à découvrir sur le site

Super Oui, Super Non

une histoire de Bénédicte Rivière illustrée par Coline Citron, à découvrir sur le site

Aloe le magnifique

une histoire d’Aline de Pétigny à découvrir sur le site

« Moche » Charlie et Belinda

retrouvez toute la collection des histoires de « Charlie et Belinda » imaginées et illustrées par Joëlle Debraux sur le site de Pourpenser.

Le vieux, vieux monsieur du 33e étage

une histoire de Coralie Saudo, illustrée par Raphaëlle Michaud

Editions pour penser à l’endroit – www.pourpenser.fr
Le début d’une pause ?

Le début d’une pause ?

Lettre d’info de la 1ère semaine de confinement


Que pouvons-nous faire ?

imprévu
A la fois éloignés de tous et confinés avec nos plus proches, voici un changement de situation radical, qui laisse une large place à la créativité et à l' »utilisation » de nos énergies 😉
Généralement, nous trouvons l’énergie de la mise en route et de l’organisation. Aujourd’hui, nous devons aussi penser à la conserver sur un temps long. Prendre soin de nos énergies sera donc essentiel.
Comme pour beaucoup, nous avons réfléchi à ce que nous pouvions apporter dans cette période compliquée. Et, mine de rien, pour les enseignants et les personnes pratiquant l’instruction en famille, Pourpenser est souvent synonyme de ressources.
Cette période pourrait être un formidable moment de rencontres, d’échanges et de partages de vos connaissances, de vos trucs et astuces, que nous pourrions relayer ici.
Nous allons nous aussi ajouter régulièrement des ressources gratuites. Albert aimerait faire des contes en live régulièrement, Aline est en lien avec les auteur.e.s pour accueillir les projets qu’ils ou elles souhaitent partager librement.
En attendant, voici déjà quelques idées :

Quoi faire avec ses enfants à la maison ?

Notre rubrique gratuite :

Coloriage Paroles de fée 2017 - gratuitPrenez le temps de redécouvrir notre rubrique gratuite. 
Les cahiers créations : à partager sur les thèmes de la confiancele bonheurla bienveillancel’intuition. Proposition : un cahier par semaine.
Téléchargez les histoires à continuer ! Elles peuvent être utilisées plusieurs fois, seul ou à plusieurs.
Cette semaine, un nouveau Pense à sourire devrait aussi arriver.

Sur le web :

Mathieu Genelle est podcasteur, et raconte des histoires pour enfants. Sur son blogtaleming.com une mine de ressources et une liste collaborative pour « occuper ses enfants ». Vous y trouverez d’excellents podcasts pour enfants (comme encore une histoire), des audios de culture (comme les Odyssées), du contenu en anglais, des conseils d’albums musicaux, des coups de coeur de lecture, des vidéos à regarder, des chaînes youtube pour les pré-ados (et nous autres ;-).
Découvrez aussi de nombreuses ressources scolaires, des liens vers des sites d’activités pédagogiques (maths, histoire, français, langues). Des ressources pour des activités ludiques, physiques ou méditatives, et pleins d’autres idées !
N’hésitez pas à aller farfouiller dans les commentaires, vous y trouverez d’autres bonnes idées déjà testées par des parents !

Sur les réseaux sociaux :

La page facebook BLOG de Monsieur Mathieu NDL un butinage impressionnant des ressources disponibles sur le net !
Enfin, n’hésitez pas à partager sur notre page facebook, ou par retour de mail, vos trouvailles, vos idées, etc. Nous les diffuserons !

Et pour les enseignants ?

Jolies phrases paroles de fée
Nous avons d’abord envie de vous dire que rien n’est grave et tout est important.
Au cours de cette période, certains élèves vont suivre ou apprendre, parce que les parents sont motivés, qu’ils ont les ressources, l’énergie, le matériel necessaire, d’autres suivront moins, voire pas du tout. Et parmi vous, certains seront à l’aise avec ce système à distance, d’autres pas. Car ils devront en priorité prendre soin d’eux, de leur environnement personnel, de leur énergie.
Nous trouvons que l’essentiel consiste à trouver l’équilibre, son équilibre, sans stress. Si vous n’arrivez pas à appliquer les directives, car vous devez prendre soin de vous, nous trouvons que c’est une bonne chose et nous vous soutenons dans tous les cas !
La deuxième chose que nous trouvons importante dans ce travail à distance, c’est la question de la création de liens, de garder le lien du groupe classe. Comment retrouver l’énergie de groupe et les liens alors que nous ne sommes plus sur le même lieu  ?
Quelques idées :

Réaliser une une histoire à plusieurs

Joséphine tout
Lancer un début d’histoire à un enfant qui va la continuer. Puis, le lendemain, un autre enfant prend le relais, etc. Vous pouvez aussi faire des groupes (de 4 ou 5) pour faire tourner plus vite l’histoire. 
L’enfant peut faire une image, un dessin de son texte. 
Chaque enfant a le projet une fois dans la semaine.
Au retour en classe, vous aurez plaisir à découvrir les textes. !
Attention :
  1. Dire à l’enfant la place qu’il a dans l’histoire. S’il est au milieu par exemple, il ne doit pas terminer l’histoire, et doit mettre un suspense à la fin de son texte.
  2. Les enfants doivent avoir pour objectif de conserver une cohérence.
  3. Pour chaque projet, changer les groupes d’enfants.
  4. Un enfant qui finit une histoire doit être au milieu ou au début d’une autre.
Début d’histoire 1 :
Il y a bien longtemps de cela, vivait dans une lointaine forêt une toute petite souris que l’on appelait Mère Grisette.
Certes, elle n’était pas bien grosse, mais ses petits yeux brillants laissaient deviner une intelligence hors du commun.
Tout le monde venait la voir pour lui demander conseil et, quand je dis tout le monde… je dis bien tout le monde, c’est-à-dire les animaux comme les humains, les fées comme les lutins.
Moi-même, je lui ai demandé conseil plus d’une fois.
Un beau jour, alors que le vent soufflait, que la neige tombait à gros flocons et que le brouillard envahissait plaines et collines, Mère Grisette, assise près d’un bon feu de cheminée, entendit frapper à sa porte.

Début d’histoire 2 :

Il était une fois, au fond des bois, une petite fée qui s’appelait Manon. Elle vivait là, dans un jolie petite cabane recouverte de mousse et de lierre, une jolie cabane toute verte…
Toute verte et toute pleine. Manon adorait ramasser des jolies choses dans les bois. Des racines toutes tordues, des fleurs séchées, de jolis marrons tout brillants et bien d’autres choses encore. Comme tout ça ne suffisait pas, Manon adorait récupérer chez des amis tout ce qui ne servait pas : de vieilles machines à coudre, de vieux livres ou de vieux cadres. « Ce sont mes trésors ! » disait-elle en parlant de tout ce bric à bac.
Bref, quand on entrait chez Manon la fée, on se demandait comment autant de choses pouvaient tenir dans une si petite cabane.

Début d’histoire 3 (pour les plus grands) :

chapitre 1 :
Je me glissai sous ma couette pour essayer de me réchauffer. Ce n’était pas chose aisée vu le froid glacial qui régnait dans la maison. Depuis quelques jours, le froid se faisait de plus en plus tenace. La vieille chaudière rouillée avait rendu l’âme depuis bien longtemps. De toute façon, on n’aurait pas eu grand chose à mettre dedans. Le seul bois que nous avions tenait dans les deux paniers posés près de la cheminée, et nous le gardions pour cuisiner le peu de vivres que nous avions trouvé dans la maison.
– Fais-moi une place, Tony, murmura Lulu en se glissant près de moi.
– Non, mais ça va pas des fois, on n’a que 13 ans !
– Il fait trop froid pour faire des manières.
Elle n’avait pas tort, à deux c’était mieux. Tant pis pour l’intimité. Là, c’était presque une question de survie.
En plus, Lulu, je l’aime. Alors l’avoir tout près de moi, ça ne me dérangeait pas trop.  Je sentais ses pieds froids sur mes jambes, et je la respirais, ça me réchauffait le cœur.
– Demain, on sera quand ?
– Demain, je crois. Crois-tu que c’est le froid qui nous bloque ici ? 
– Je ne sais pas. Ça fait presque deux semaines que les jours se suivent. Ça faisait longtemps que ce n’était pas arrivé. 
– Tu crois qu’on va rester comme ça, ici, toute notre vie ?
– Si c’est le cas, on n’y restera pas bien longtemps !
– Que veux-tu dire ?
– Nous mourrons de froid ou de faim, fit Lulu en haussant les épaules, fataliste.
– Oui… tu as raison. C’est pour ça qu’il faut qu’on continue de creuser.
On se pelotonna sous la couette pour essayer de dormir. Ces derniers jours, Lulu m’avait appris à dormir malgré la peur.
– De toute façon, m’avait-elle dit, moins tu dors, plus tu as peur. Il faut juste que tu veilles avant de t’endormir à appuyer sur le bouton rouge.
– Le bouton rouge ? 
Comme un idiot, j’avais regardé autour de moi, cherchant en vain le bouton.
Elle avait ri de son petit rire clair, un rire sans méchanceté.
– C’est un signal d’alarme. on en a tous un, intégré. Moi, quand je ferme les yeux, mon bouton rouge est en haut à droite. Et toi ?
Je la regardais bêtement, sans répondre.
– Eh ! Pas la peine de me dévisager. Le bouton, il est à l’intérieur de ma tête…, précisa-t-elle. Bon… je vois…
Elle avait dit ces trois derniers mots sur le ton de quelqu’un qui regarde son vieux frigo pourri : on ne peut plus rien faire pour lui… Il est bon pour la casse, on pourra peut-être récupérer quelques pièces et recycler le reste. 
– J’ai très bien compris, répliquais-je vexé. Mon bouton rouge est en haut à gauche.
Et depuis ce jour, j’ai appris à dormir malgré ma peur. Au moment de me coucher, j’appuie sur ce bouton et je sais que si quelque chose d’anormal se passe, je me réveillerai. 
Ça n’enlève pas la peur, et ça ne m’aide pas à savoir quel jour sera demain, mais au moins je dors un peu, accompagné par le tic tac du réveil rouge.

Un projet de blog !

C’est le moment de se mettre au numérique ! Des solutions simples, comme Wix, existent. 
Vous pouvez créer des rubriques de partage avec des recettes de cuisine, un livre à lire, une musique à écouter, poèmes, dessins, documentaires, etc.
Organisez le blog de la classe !
Envoyez de belles pensées !
Pensée positive Tu es formidableVous avez le philo-famille, le mémo-philo, mais vous trouverez aussi plein de belles pensées positives un peu partout (dans nos gratuits aussi ;-)).
Envoyez chaque matin aux enfants, à vos élèves par mail, sms, une image avec une pensée positive !
Dans la même idée, créer des listes de 5 élèves sur une semaine. Chacun devenant « Ange gardien » de l’autre pour une journée. Ils ont pour mission d’envoyer un mot, une pensée positive, un compliment, un dessin, à l’autre, par mail, sms, etc. Chaque jour, le destinataire de l’élève change. Ainsi, chaque jour, chaque élève recoit une pensée et en diffuse une. A la fin de la semaine, chacun a été en contact avec les 4 autres.
La semaine suivante, on change les groupes. A la fin de la période de confinement, chacun aura reçu au moins une pensée de tous et aura envoyé une pensée à chacun !

Témoignage…

Je voulais vous apporter mon témoignage famillial. A l’annonce du confinement, nous nous sommes bien organisés. Il fallait que l’on se rassure, et donc avoir une visibilité. Alors, nous avons organisé la corona-scool, un kanban des activités, des rendez-vous réguliers… Bref tout semblait parfait.
Sur le premier jour, tout fut presque parfait. Le troisième jour, les premières tensions apparurent. Et oui, c’était déjà hier… Alors nous nous sommes encore réunis, en nous disant : « Nous avons tous des tâches à faire, mais la première de toute, c’est celle d’être bien ensemble. Nous allons vivre ensemble pendant une période longue 24h/24, notre première mission est de ne pas laisser les tensions arriver ». 
Nous avons repris les bases, la manière dont on se parle, l’attention que l’on porte à chacun, le reste étant secondaire, voire tertiaire.
Pour l’instant, tout est parfait… Jusqu’à J+3 où nous apporterons de nouvelles corrections nécessaires 😉
Bon confinement à tous !
Dominique
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Continuez à nous partager vos idées, sur notre page facebook, ou par retour de mail !
Editions pour penser à l’endroit – www.pourpenser.fr
Pourpenser  en 2020 !

Pourpenser en 2020 !


Tout d’abord, un immense merci à chacun d’entre vous qui nous suivez, nous soutenez, et diffusez autour de vous !
Si, en 2020, nous atteignons notre majorité : 18 ans, c’est grâce à vous.
18 ans sera un peu notre fil rouge de l’année, année d’émancipation !
Il est grand temps d’oser et de prendre notre envol !
  • Gaëtan qui a travaillé plusieurs années pour la maison d’édition jusqu’en 2010, avant de partir voyager, revient parmi nous pour bichonner notre relation avec les libraires… Prochainement, nous vous proposerons d’aller faire un cadeau à votre libraire favori.
    Gaëtan va mettre aussi en place des propositions pour les écoles, plus particulièrement les APEL et les Amicales.
  • Marie-Line, avec nous depuis 2 ans déjà, passe à plein temps, et va mettre en place le réseau des Jardiniers et Jardinières magiques Pourpenser.
    Nous commencerons le réseau au mois de février.
  • Emmanuelle choisit de s’investir avec nous dans les relations de presse, les partenariats web et blogueurs.
  • Joëlle, auteure de la collection des Charlies et Belinda, va nous aider pour un site multilangue. Car si tout se passe bien, au printemps, nos livres seront disponibles en Amérique du Nord et au Canada.
  • Galou, également auteure, va nous aider à reprendre la parution de manière régulière de « Pense à Sourire », le magazine gratuit en ligne de la maison d’édition.
  • Albert et Dominique changent nos outils numériques, mais à notre image. Un projet informatique libre et collaboratif : OpLibris. Nous prenons la résolution de choisir en priorité les solutions OpenSource pour notre gestion quotidienne.
  • Athena présente à nos côtés depuis l’enfance s’occupe des maquettes depuis quelque temps déjà et prend soin du lien avec les autrices et auteurs de la maison : du projet jusqu’aux dédicaces sur les salons.
  • Quant à Aline, 18 ans qu’elle a co-créé la maison d’édition, elle souhaite rester en lien avec ses 5 ans 1/2. Toujours plus d’idées, toujours plus de création, toujours plus d’engagement dans le choix des projets !
Bien sûr, nous continuerons tout au long de cette année à être présents et à sillonner la France pour aller à votre rencontre, passer des moments précieux de partage.
Merci à vous tous !
Chaleureuse Année !

Aline, Albert, Athena, Dominique, Marie-Line, Gaëtan, Emmanuelle, Joëlle, Galou…
Editions pour penser à l’endroit – www.pourpenser.fr
Feuilletez les nouveautés de l’automne 2019 !

Feuilletez les nouveautés de l’automne 2019 !

Cet automne est riche de nouveautés chez Pourpenser !

Voici regroupés pour le feuilletage des nouveautés que vous pouvez dès à présent pré-commander sur notre site www.pourpenser.fr et dès la mi-octobre chez votre libraire ou votre point de vente habituel.

Vous tenez une librairie, Angeline est à votre écoute.
Vous tenez un autre type de point de vente, Marie-Line se fera un plaisir de vous répondre.
Vous souhaitez parler de ces livres, des auteurs ou de la maison dans un journal, sur une radio… hop, un mot à Emmanuelle !
Pour nous inviter sur un salon, un festival en 2020 : vous pouvez contacter Athena.

Si vous habitez en Suisse, nous vous invitons à contacter Thomas chez Rossolis.
Pour la Belgique, Isabelle, de la Pachamama saura répondre à toutes vos questions.

Jusqu’au mois de décembre vous pouvez aussi nous retrouver sur de nombreux salons :

S’asseoir et ne rien faire 

Texte de Natalie SLATER, illustrations de Joëlle DEBRAUX.

Dis raconte, comment ça marche ?

Texte de Martine LANI-BAYLE, illustrations Adélaïde RONXIN, préface Edwige CHIROUTER et avec la complicité bienveillante d’Edgar MORIN.

La famille Casserole, Tome 2 : Un mic-mac anniversaire 

Texte de Laetitia PETTINI, illustrations Mélanie FUENTES

Feminin Mahler 

Texte et illustrations Anne MAHLER

Les saisons de Bélinda (à partir du 15 octobre) : 

Une collection écrite et illustrée par Joëlle DEBRAUX

 L’automne

L’hiver 

Le printemps

L’été

Et en plus de ces 7 livres, nous sortons également un nouveau jeu conçu en complicité par Damien MARQUIS et Aline de PETIGNY !

à découvrir sur www.pourpenser.fr

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