Il y a des rencontres improbables et pourtant évidentes…
Dans le courant de l’été Le Monde faisait une série d’article sur la famille Chedid – une famille qui depuis longtemps me touche et résonne avec ce que nous vivons depuis plus de 20 ans avec ma sœur Aline et nos enfants respectifs.
Ma chère et tendre me montre l’un des articles où Émilie Chedid parlait du livre Ghost Clusters qu’elle avait auto-édité et qu’elle allait peut-être maintenant « oser aller voir des éditeurs ».
Quelques minutes plus tard je déposais un mot sur le site d’Émilie en lui présentant Pourpenser et lui disant qu’il était rare que j’ose ainsi aller à la rencontre des auteurs et autrices, et qu’entre personnes qui osaient, il y avait peut-être quelque chose à faire.
Depuis, nous avons régulièrement échangé, nous sommes rencontrés, avons appris à nous connaitre un peu, envisagé la réimpression de Ghost Clusters et son envie d’un tome 2, évoqué d’autres projets personnels…
Nous ne savons pas quand nous ferons quelque chose ensemble ni même la forme que cela prendra, mais l’envie est là, et c’est à mes yeux le principal.
Aujourd’hui, Émilie illustre un livre chez Robert Laffont sur un texte que sa grand mère Andrée avait écrit dans les années 1970. Un livre accompagné d’un conte musical écrit et interprété par son père Louis et son frère Matthieu.
Et si je vous dit que ce livre parle de différence et d’acceptation de soi, vous comprendrez d’autant plus pourquoi je ne peux que vous inviter à aller le découvrir 🙂