Aline à Montaigu vu par l’objectif d’Athena
Bien que fatigants physiquement, nous aimons ces moments d’échanges et de rencontres dont nous ressortons riches de vos retours et la tête pleine de nouvelles idées.
En voici quelques-unes que nous avions envie de partager avec vous :
Un label “coup de cœur d’Aline et Albert”
Depuis un moment déjà, nous nous rendons compte que nous recevons parfois de très beaux projets que nous ne pouvons pas intégrer à notre catalogue, mais qui mériteraient d’être mis en lumière.
Certains de ces projets sont portés par des auteur-e-s qui sont prêts à s’engager à 100%, quitte à prendre le risque de l’auto-édition.
Nous allons donc dans les semaines/mois qui viennent, formaliser cette idée de “label coup de cœur”. Un petit coup de pouce à notre échelle pour signifier : “Oui, nous aimons ce projet. Nous n’avons pas la capacité financière pour l’aider, mais nous le soutenons et invitons nos lecteurs à le découvrir”.
Merci à Angéline, Céline et Mélanie de nous avoir, par leurs échanges de ces derniers jours, rappelé cette idée évoquée il y a déjà 2 ans.
Multiplier les partenariats
Sans doute connaissez-vous nos engagements concernant l’éco-conception de nos livres.
Ceci étant, force est de constater que notre modèle économique se heurte à la réalité des chiffres. Aujourd’hui, produire localement de petits livres à pas cher sur des thèmes engagés ne permet que de toutes petites marges financières et nous limite pour la création de nouveaux projets. D’un autre côté, cette démarche nous semble la seule cohérente avec la ligne éditoriale que nous portons.
Du coup, comment faire ?
L’une des pistes est de multiplier les partenariats : c’est ainsi que nous avons pu éditer “Papillon et papier de soie” par exemple, et que nous proposons des partenariats à des associations et à des entreprises.
L’autre piste est de proposer, une fois par an, une édition “luxe” de l’un de nos titres existants.
Une édition luxe, commercialisée en directe, qui nous permettrait de dégager un supplément de marge tout en répondant au souhait de certains de nos lecteurs d’avoir un bel objet.
Un “beau livre” par an…
Imaginez, par exemple, un tirage limité, signé et numéroté de “La princesse et la bergère” en grand format, dos toilé, imprimé sur un très beau papier de création avec des croquis inédits et une litho noir et blanc…
Nous sommes actuellement en discussion avec des artisans imprimeurs/relieurs à même de réaliser ce type d’ouvrage.
En parallèle, nous souhaitons vous demander à vous, lecteurs, ce que vous en pensez. Seriez-vous acheteur d’une telle édition limitée ? Et si oui, à quel prix ? Si vous avez quelques secondes devant vous, nous vous remercions de répondre de façon anonyme et sans aucun engagement au petit questionnaire suivant.
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merci beaucoup pour cet article très intéressant.J'espère vraiment un jour vous rencontrer lors d'un salon. Bravo à vous pour vos engagements 🙂
bonjour, c'est toujours un débat au sein des entreprises de l'économie sociale et solidaire, des entreprises qui ont une éthique forte et souhaitent se rendre accessible financièrement au plus grand nombre. Pour moi, il y a à réfléchir à comment des clients qui ont des moyens financiers importants vont permettre, en achetant des livres plus "luxueux" et plus chers, à la maison d'édition d'éditer des livres plus "simples" et plus accessibles financièrement.
Il faut aller chercher l'argent là où il est.
Bonne réflexion et bravo pour votre travail.